Caricature de l’artiste façon seventies
Dès l’adolescence, Satoko rêve en peinture et démarre ses premières expressions artistiques sous impulsion !
Elle se destine d’abord à une carrière internationale dans le monde des affaires mais les évènements de la vie la ramènent à sa véritable nature d’artiste.
Elle se forme auprès de professeurs des beaux-arts de Paris (ENSBA), à l’école du Louvre, fréquente des ateliers spécialisés où elle apprend et intègre dans son travail les techniques de peinture à l’ancienne (cire, tempera à l’œuf, travail sur feuille d’or, technique des flamands, technique Rembrandt), et réalise de nombreuses copies d’œuvres inspirées des grands peintres de la Renaissance italienne et flamande, ses Maîtres à penser.
Imprégnée d’Asie et des arts asiatiques, c’est comme une évidence que Satoko emprunte son nom de peintre à l’héroïne d’un roman de l’écrivain japonais Mishima, qui lui colle à la peau.
Néanmoins, si Satoko utilise les techniques ancestrales qu’elle a apprises au cours de son parcours atypique, elle n’hésite pas à marier techniques anciennes et modernes, incorporant parfois des images photographiées ou sculptant la matière, offrant ainsi une grande variété de styles d’expression et de rendus.
Ses recherches picturales visent à exprimer les mouvements de l’âme dans le temps et l’espace, la quête du divin, le cheminement dans la recherche de l’identité.
D’aucuns percevront dans ses œuvres, pouvant être qualifiées d’un genre fantastique ou surnaturel, la dimension spirituelle, poétique et romantique de l’auteure. Il s’agit d’art contemporain mais aussi d’art moderne.
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